Is the feminist project to bring about parity for women and men in traditionally male fields doomed? Recent headlines trumpet that "The more gender equality, the fewer women in STEM." The American Enterprise Institute proposes that it is futile to fund efforts to increase women in STEM fields, given that, “as paradoxical and counter-intuitive as it seems, female underrepresentation in STEM may actually be the result of the great advances in female empowerment, progress, and advancement that have taken place in (...) recent decades, and not the result of systemic gender discrimination.” Meanwhile, men's rights activists exalt new findings as evidence that women just naturally don’t prefer science. These bold claims stem from the “Gender Equality Paradox” hypothesis, which is simply this: Some of the countries with the highest gender equity scores on internationally-comparable indices also show the largest average sex differences in prefrences for STEM careers. In other words, in countries with more gender equality, like Norway and Sweden, fewer women choose to enter STEM fields than in countries like Algeria or Turkey. Over the past year, the GenderSci Lab has been engaged in a critical analysis of the “Gender Equality Paradox” hypothesis and its accompanying assumptions and implications. In this paper, we share our reanalysis of some of the data used by Stoet and Geary (2018) and argue that their findings are likely spurious. (shrink)

Early in the COVID-19 pandemic, researchers reported a surprising trend in disease outcomes: men were more likely to require hospitalization and die from COVID-19 than women. Researchers looked to sex-linked biology to explain these disparities, hypothesizing innate sex differences in immune function, suggesting the use of estrogens or androgen-suppressants as therapy, and even pushing for sex-specific vaccine strategies. Leading bioethicists like Dr. Ezekiel Emanuel at the University of Pennsylvania recently described the sex disparity in COVID-19 outcomes as "the unsolved mystery" (...) of the... (shrink)

Uncertainties about how to achieve sustainable and reliable biobased value chains can be remedied by inclusion of local biomass producers. Such inclusion implies that the knowledge, values, interests and skills of these local producers are integrated into the set-up, design, development and associated distribution of risk and benefits of the specific value chain. To make sure that this inclusion is both fair and effective, capabilities of relevant actors need to be taken into account, i.e. the capabilities of biomass producers and (...) of companies and local governments. Building on these capabilities can lead to context sensitive design of biorefineries that allow for true inclusion of local stakeholders. We support this claim with reference to the case of sugarcane production in Jamaica. (shrink)

Ignorance is essential to life as we know it. Foreknowledge of the future would preclude choice, responsibility, individuality—even history. True knowledge of the past would obviate historiography. Without human ignorance of God's larger plan, His omnipotence and benevolence would not make sense, given the evils of the world. Full knowledge is the enemy of both intimate and impersonal relationships; for that matter, even less important personal decisions are made in ignorance. Military strategy and natural science both depend on ignorance, as (...) do the law and politics—especially inasmuch as the latter requires myths that divide the world into good and evil forces. (shrink)

Forgiveness is much more than isolated acts and words of individuals. The capacity to discover what it means to forgive and be forgiven depends, in part, on the richness of one's communal practices and disciplines.

This chapter contains sections titled: Hate Speech and the Law Two Theories of Rights Should Hate Speech be Free Speech? Hate Crimes and the Law.

S'il est un point que les réflexions contemporaines sur le temps ont mis en relief et inscrit profondément dans notre conscience, c'est que l'avenir qu'on espère dépend directement du présent qu'on réalise. Telle est notre attitude en face du présent, telle elle sera inéluctablement en face de l'avenir; et donc l'avenir lui-même, puisque ce dernier n'est rien sinon un présent caché encore, au cœur d'un présent déjà actuel, et explicite. Il est en effet de l'essence même de notre condition humaine (...) d'avoir un présent structuré et comme stratifié. Certes on peut imaginer le présent comme un point sans épaisseur, comme la limite évanescente entre un segment de ligne qui marque le passé à jamais révolu, et l'avenir qui se meut vers nous pour basculer inexorablement vers le non-être en franchissant ce présent. Mais cette image, utile pour bien des tâches, ne correspond d'aucune manière à la réalité vivante de la conscience humaine et des activités qui lui sont propres. Nous sommes dans le présent ce que nous sommes et ce que, en un sens, nous croyons pouvoir dire que nous avons été. Une grande partie de ce que nous appelons le passé, notre passé personnel et sans doute notre passé spécifique, est présent, non seulement à titre de souvenir, pouvant être, ou non, évoqué, mais à titre de schéma dynamique modifiant notre être-au-monde, notre présente réaction au réel le plus réel, à la situation où nous avons à déployer notre activité. (shrink)

Le philosophe Jean Baudrillard (1929-2007) a-t-il vraiment existé? Que reste-t-il de lui? "Une élégance certaine de la pensée", affirme l'un de ses meilleurs interprètes, François L'Yvonnet. Le philosophe de La Société de consommation, des Stratégies fatales et des Cool Memories s'attachait à l'idée du fragment comme mode de pensée : car dans le détail, tout est parfait, c'est dans sa reproduction que tout se complique. François L'Yvonnet explore cinq fragments de la philosophie de Jean Baudrillard et de sa biographie pour (...) mieux saisir l'éclat et la jubilation d'une pensée toujours vivante et contemporaine. (shrink)

RésuméLa notion de «rationalité de l'Univers » a varié au cours du temps, le long dialogue de l'esprit et de la nature ayant toujours abouti à ce que Le Roy appelait « l'évolution de l'évidence et la plasticité de la raison ».L'échec de l'explication mécanique de l'Univers a conduit James Jeans à déclarer que le monde ressemble plutôt « à une grande pensée » qu'à une grande machine », car on ne peut en donner qu'une description mathématique. En réalité, la (...) physique moderne n'est ni plus ni moins mathématique que l'ancienne; elle est seulement plus générale. James Jeans confond les mathématiques pures et les mathématiques appliquées.Eddington prétend déduire les lois générales et les constantes physiques de la nature de considérations épistémologiques a priori. C'est un retour à Kant. Malheureusement les postulate dont il part comme évidents n'ont point paru tels au XVIIe siècle et n'ont été admis que sous la contrainte de l'expérience. Sa théorie ne prévoit ni les neutrons ni les mésons. Elle est vouée à l'échec.La possibilité de trouver un formalisme mathématique applicable à un domaine expérimental ne préjuge en rien la rationalité de l'Univers, car un mathématicien habile sera toujours capable de faire rentrer même un monde « erratique » dans un vêtement mathématique approprié. (shrink)

This chapter contains sections titled: Jurisprudence: Method and Subject Matter Legality and Authority Positivism: Austin vs. Hart The Authority of Law Judicial Discretion Incorporationism and Legality Raz' s Theory of Authority Incorporationism and Authority Conclusion Postscript References.